La procrastination, 6 conseils pour l’éviter
Publié le lundi 17 mai 2021 par Celine Lieffroy | 1 commentaires
Classé dans : Motivation - Travailler à domicile - Difficultés - Productivité -

Qu’est-ce que la procrastination ?

Procrastiner, du latin pro « en avant » et crastinus « du lendemain », c’est :

  • Remettre à plus tard des choses importantes qu’on est censées faire
  • Pour réaliser des tâches d’importance secondaire
  • Si bien que la tâche importante n’avance pas.

Ce n’est pas une mode dont on parle de plus en plus, mais un phénomène psychologique qui est de mieux en mieux connu et documenté grâce au travail de la recherche.

La procrastination touche tout le monde, même les plus productives, les mieux organisées, les plus routinières d’entre nous.
Cela peut être bien sûr plus ou moins ponctuel, plus ou moins intense, mais les mécanismes restent les mêmes.

Si nous n’en parlons pas, c’est que c’est quand même un peu la honte !
Nous avons fortement l’impression que cela relève d’un dysfonctionnement, d’une incapacité de notre part, voire d’un manque de volonté, d’une paresse…

Alors, oui, vous pouvez dans une certaine limite vous fixer des cadres et vous mettre des coups de pied aux fesses pour avancer dans votre travail, cela suffira parfois, mais pas toujours…

Dans ce cas, mieux vaut chercher à comprendre plutôt que de vous dévaloriser et de vous culpabiliser jusqu’à entrer dans la spirale descendante de la perte la perte totale de confiance en vous et la désestime de soi, nous replongeant dans de mauvais souvenirs...
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La procrastination est une stratégie d’évitement très banale

Je sais que je dois m’y mettre, mais je n’arrive pas à commencer…
Quand je suis derrière mon bureau, je me sens fatiguée, en baisse d’énergie. Je me dis que ça ira mieux demain, quand je serai reposée…
Les jours passent ; je n’avance pas.
Chaque fois que je veux m’y mettre, il y a toujours quelque chose d’autre à faire.
Finalement, je me sens nulle de ne pas y arriver, je me fais des reproches…

Qu’est-ce qu’il se passe ?
Face à une tâche difficile et complexe, que nous ne savons pas très bien par quel bout prendre, dont le résultat est de surcroit incertain, qui nous met dans une situation inconfortable, nous mettons inconsciemment en place des stratégies d’évitement.

Celle-ci nous pousse à réaliser ces fameuses « choses à faire » que nous savons faire pour le coup (zone de confort), plus faciles, plus agréables, dont les résultats sont tangibles et la satisfaction immédiate : reconnaissance du travail accompli…

Notre cerveau préférera toujours la récompense immédiate (même minime) pour un truc facile, plutôt qu’une récompense future (plus forte, mais incertaine) en passant sur des charbons ardents.

Il faut nous comprendre 😉

Or, le télétravail, surtout à domicile, est un contexte favorable à la procrastination, cette stratégie d’évitement :

→ Multiplication des tentations à faire autre chose, sous forme de sollicitations externes : proches, famille, ami.es qui « profitent » que nous sommes à la maison, mais aussi réseaux sociaux…
→ Absence de collègues et de patron.ne, d’un cadre et de conditions qui nous « obligent à »…

📌 Les conditions de la procrastination

Quand procrastinons-nous ?

Face à la peur, l’anxiété, l’incertitude

Parce que finalement, nous ne sommes pas certaines d’y arriver, que nous pensons même peut-être au fond de nous que nous n’en sommes pas vraiment capables (auto-sabotage), nous hésitons à nous engager dans ce projet…

Enfin, nous nous y sommes déjà engagées en quelque sorte, puisque nous sommes le nez dedans, face à notre écran, mais est-ce que ça vaut le coup (finalement) d’y passer tant de temps, d’y mettre autant d’énergie ? Il y a quand même des (fortes) chances que cela ne nous mène à rien sinon à un échec final ? N’est-ce pas d’ailleurs ce que nous a prédit Machin ou Machine ?...

Face à cet auto-sabotage, à ce gros doute qui génère une forte anxiété, nous nous réfugions dans notre zone de confort, ce que nous savons faire, et bien faire…
Bref, tout ce qui ne sera pas ce projet-là, que nous aimerions voir se réaliser, mais qui nous met dans une situation si inconfortable !

Cf. article 7 étapes pour dépasser sa peur de se lancer :
https://croquefeuille.fr/?7-etapes-pour-depasser-sa-peur-de-se-lancer

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Nous n’aimons pas faire / Nous ne savons pas faire

Il y a toujours des choses que nous n’aimons pas faire dans un projet, que ce soit la compta, la prospection, communiquer par écrit…

Nous ne nous sentons pas armées pour le faire.
En tout cas, ce n’est pas notre zone de confort.

C’est souvent ce que nous ferons en dernier, ou ce que nous oublierons de faire…
J’ai ainsi connu des personnes qui avaient travaillé sur leur projet pendant près de 2 ans, qui avaient tout peaufiné, et qui l’ont finalement abandonné, faute d’avoir voulu communiquer.
Elles avaient toujours mieux à faire, quelque chose qui devait être fait avant.
Sans ça, elles auraient risqué de perdre la face, en crédibilité, parce que leur image n’était pas parfaite.
Attendre d’atteindre la perfection, c’est de la procrastination !

Parfois, nous ne savons juste pas par où commencer face à l’ampleur de la tâche.
Nous n’avons juste aucune idée du chemin, aussi nous nous perdons dans des circonvallations, et pas toujours les plus faciles, parfois escarpées.
C’est vraiment décourageant… 😰
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L’ennui, la lassitude, le manque de perspective

Je pense notamment à celles et ceux qui sont lancé.es depuis un petit moment, qui sont fier.es du chemin parcouru, mais sans forcément vouloir l’admettre s’ennuient désormais là où illes sont parvenu.es.

Alors, c’est moins facile de s’y mettre.
Le travail quotidien nous apportant moins de satisfaction, nous avons soif d’autre chose, d’un ailleurs que nous ne visualisons pas bien encore.

Nous avons pourtant un job de rêve, nos client.es sont super, mais il nous manque l’adrénaline de nos débuts, de nouveaux challenges, relever des défis.
Nous nous endormons un peu dans ce qui est devenu depuis longtemps maintenant notre zone de confort.

📌 Des solutions pour lutter contre la procrastination...

Voici quelques pistes à tester.

1°/ Réalignez-vous avec votre projet

Pourquoi voulez-vous faire ce que vous faites ?
Si vous vous sentez bloquée/ empêchée, cela vaut sans doute le coup de vous (re)poser la question.

Quelle est votre vision ? Quel est votre projet ? Quels sont vos objectifs ? En quoi est-ce important pour vous ? Comment vous sentiriez-vous si vous réunissez ? Qu’est-ce que cela changerait pour vous ?...

Cette vision a pu changer avec le temps, vos attentes peuvent être différentes de ce qu’elles ont été, elles ont pu évoluer…
Où en êtes-vous aujourd’hui par rapport à ça ?

2°/ Recréez les bonnes conditions de travail

Je comprends tout à fait que travailler sans collègue ni patron.ne soit la panacée.
Cela ne veut pas dire pour autant restée seule et isolée ni travailler sans aucun cadre !

Choisissez-vous le cadre qui vous convient le mieux et essayez de vous y tenir.
Entourez-vous des bonnes personnes et créez des temps d’échanges, des RDV.

Comme toute personne humaine, vous avez besoin de reconnaissance dans votre travail, même si :

→ vous êtes en début de projet, et que vous n’avez encore ni rémunération ni clientèle (il faut bien y travailler pour les obtenir, ça ne va pas non plus se faire tout seul !)
→ vous êtes en vitesse de croisière, et vos proches trouvent « normal » ce que vous faites tous les jours. Il n’y a pas de quoi pavoiser !

Mon conseil :

  • Trouvez-vous des collègues/consœurs proches, créez un binôme ou un petit collectif pour vous co-accompagner
  • Rejoignez des réseaux de freelances, ou encore mieux de femmes entrepreneures, et si possible avec des RDV réguliers (même en visio)

L’objectif est d’acter vos avancées, vos réussites, et même de rendre des comptes à quelqu’un d’autre qu’à soi-même.
Cela vous permettra aussi d’y trouver du réconfort et des conseils en cas de difficultés.

Cela fonctionne aussi pour les tâches que vous n’aimez pas faire.
Je me souviens d’une entrepreneuse de mon ancienne coopérative qui avait lancé une bouteille à la mer sur le réseau pour trouver une binôme pour sa prospection téléphonique.
Elles se donnaient rendez-vous toutes les semaines pour partager leurs objectifs et débriefer sur le travail effectué.

C’est bien sûr un exemple, cela pourrait prendre 1000 autres formes !
Si vous en avez, partagez-les nous en commentaires 🙂

3°/ S’accorder du temps pour chaque chose et surtout pour soi-même

L’objectif est ici de reprendre la maitrise de son temps, mais pas comme une brute ! Avec bienveillance en s’accordant aussi du temps pour soi : écouter nos ressentis, comprendre nos besoins…

Reprenez le pouvoir 🤜

4°/ Désynchroniser les temps de réflexion et de décision avec les temps d’exécution

Selon moi, la plus mauvaise attitude, et que j’observe pourtant le plus souvent, est de s’installer à son bureau en se demandant :

« Qu’est-ce que je vais/dois faire maintenant ? ».

Là, nous commençons à checker nos mails, puis nous rendre sur les réseaux sociaux, en proie à 10.000 sollicitations, tout plein d’excuses pour ne pas avancer sur ce qui est en réalité important pour nous, mais que nous ne savons pas très bien comment appréhender.

Certes, nous avons une to do liste sous le coude, mais nous nous y mettrons une fois que nous serons lassées de répondre à toutes ces sollicitations externes

Bref ! Les choses importantes pour nous seront reléguées au second plan, se limiteront à la portion congrue 😒

Si vous avez cette tendance, ce que vous pourriez faire est de vous accorder quelques heures de réflexion, dans de bonnes conditions :

  • Sans être dérangée
  • Dans un cadre sympa
  • Sans ordinateur, juste avec une feuille ou un cahier

Pour penser à ce que vous avez à faire dans le cadre de votre projet (s’il y a projet) ou ce que vous avez à faire de vos journées au regard de ce que vous voulez pour vous.

Vous repartirez de votre vision, ce pour quoi vous faites ça, quels sont vos objectifs et déroulerez le fil de vos journées.

En tout cas, l’important est de désynchroniser ces temps de réflexion et de décision (qui seront planifiés à l’agenda) et les temps de la réalisation (également planifiés) de manière à ne plus avoir à vous poser la question : « qu’est-ce que j’ai à faire maintenant ? »

Vous n’aurez plus qu’à dérouler vos journées comme vous l’avez prévu, ou disons plutôt : au plus près de ce que vous avez prévu 😉
Car il faut toujours faire avec les imprévus…

J’entends déjà certaines d’entre vous pousser des cris d’orfraie, parce qu’elles souhaitent laisser libre court à leur spontanéité, à leur créativité… bref ! qu’elles ne se voient pas tout planifier pour se retrouver prisonnières d’un carcan…

Déjà, je ne m’adresse ici qu’aux personnes qui rencontrent des difficultés face à la procrastination.
Donc, si leur fonctionnement spontané fonctionne bien pour elles, je n’y reviens pas.
Tout le monde est bien libre de faire à sa manière !

Je ne cherche pas à évangéliser ; je propose juste des pistes de solutions à tester.

Ensuite, elles seraient sans doute très surprises des routines et des carcans des artistes, pour permettre à leur créativité de s’exprimer et d’aboutir en une forme qui leur est particulière.
Mais ce n’est pas le sujet 🤭

5°/ Découpez vos objectifs, jusqu’à obtenir des petites tâches que vous saurez plus facilement réaliser

Quelles sont les grandes étapes ?
Découpez votre objectif en grandes étapes

Faites attention à ne définir que des objectifs qui ne dépendent que de vous.

Par exemple : remportez le marathon de dimanche ne dépend pas que de vous, mais également en grande partie des autres personnes inscrites et de leur niveau.

Idem pour trouver des client.es

Autrement dit, Si votre projet est de vous lancer à votre compte, « trouver des client.es » ne pourra pas être une étape. En tout cas, pas formalisée comme ça.

En revanche, ça pourra être : « mettre en place une stratégie commerciale et un plan d’actions pour trouver des client.es »…
Définir une stratégie et mettre en place un plan d’actions dépend bien de vous !

Vous ne pouvez travailler que sur votre partie à vous, ce qui ne dépend que de vous.
C’est déjà bien 😊

Pour cette étape, quelles vont être les différentes phases ? Les sous-objectifs ?
Commencez par la première étape que vous redécouperez en différentes phases : ce qu’il vous faudra réaliser à ce stade.
Ce sont en quelque sorte des sous-objectifs

S’il y a lieu, pensez-les dans l’ordre : ce qu’il faut faire en premier et après.

Pour chacun de ces sous-objectifs, vous réfléchirez aux moyens et aux outils nécessaires pour les réaliser. En disposez-vous, ou pas ?
Il vous faut nécessairement du temps. Quel temps allez-vous pouvoir y accorder ?
Il faudra peut-être des compétences spécifiques ? Les avez-vous ? Sinon, comment allez-vous y pallier ? Allez-vous apprendre sur le tas, faire une formation, déléguer ce qui est le plus compliqué ?...
Avez-vous besoin d’outils, de logiciels spécifiques… ?

S’il y a lieu, vous pouvez redécouper vos sous-objectifs en sous-sous-objectifs.
Cela va dépendre de l’ampleur du projet.

Le but est d’arriver à une liste de tâches :
→ Que vous pourrez réaliser par vous-même (ou une tierce personne à laquelle vous la déléguerez)
→ Que vous pourrez planifier sur votre agenda en fonction du temps que vous estimez qu’elle doit vous prendre

Ainsi, vous ne (ré)écrirez plus (tous les jours) sur votre to do liste « faire mon site internet », ce qui ne vous aide pas.
(Ce n’est pas comme si vous alliez oublier de faire votre site internet !)

Mais vous écrirez, puis planifierez des tâches précises, comme : me renseigner sur les solutions pour mon site, acheter le nom de domaine et l’hébergement, contacter Damien pour réaliser la bannière, faire le plan du site avec les différentes pages, rédiger la page « À propos », créer le formulaire de contact, etc.

Vous comprenez le principe…

Avec ces mini-tâches, vous aurez l’impression d’avancer vers votre objectif final, peut-être doucement, mais inéluctablement !

Vous connaissez la fable : à la fin, la tortue gagne, le lapin perd.

L’important reste de mettre une patte après l’autre, sans plus se poser de question.
D’où l’importance de la désynchronisation.
La tortue sait où elle va et avance ; le lapin tergiverse et fait des circonvolutions…

6°/ Évaluez, priorisez et planifiez

Comme tout le monde, vous avez des ressources (temps et énergie) limitées, ainsi que des contraintes qui vous sont propres, l’idée est donc d’allouer vos ressources de la meilleure manière possible au regard de vos objectifs (vision = ce qui est important pour vous) et de vos contraintes (personnelles, familiales, sociales…)

Or, vous aimeriez bien pouvoir vous inscrire à cette formation sur le copywriting ou l’art d’écrire pour vendre.
Seulement, vous avez déjà l’impression d’être débordée, de ne pas pouvoir tout faire, que votre to do liste est très longue.

Oui, je sais, c’est frustrant, mais il va falloir prioriser.
Remettre toutes ces choses à plat, les organiser pour les planifier, qu’elles puissent trouver leur juste place dans votre vie quotidienne.

Marie Kando a eu un succès fou avec sa méthode de rangement par le vide.
Elle préconise de ne conserver que les objets qui entrent dans notre vision de la maison parfaite, celle qui nous procure de la joie tous les jours, et de se débarrasser du reste !

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Pour nos journées, c’est un peu pareil > ne conserver que les tâches qui vont permettre la réalisation de la vision de la vie que vous voulez. Oubliez le reste qui ne fait que vous encombrer !
Focalisez vos ressources sur l’essentiel.

Voilà les quelques conseils que je voulais vous partager dans le cadre de cet article.
Vous pouvez le compléter par vos retours en commentaires.


✱ Si vous restez bloquée sur votre projet ou dans le développement de votre activité, sachez que je peux aussi vous accompagner :
https://www.offre-croquefeuille.fr/


Commentaires
Le dimanche 6 juin 2021 à 09h00

Merci Céline pour cet article ! La procrastination peut en effet nous concerner à un moment ou à un autre !

Pour ma part, quand l’idée m’est venue de devenir télésecrétaire mes premières questions ont été : Comment dois-je m’y prendre ? Par quel bout commencer ?

L’acquisition du Pack Installation présenté en 8 modules m’a beaucoup aidé à planifier mes actions que j’avais à réaliser. Baliser mon travail est important pour moi, il me permet de ne pas (trop) me disperser.
D’autre part, avancer à petits pas avec des objectifs bien définis à chaque étape m’a permis de tirer beaucoup de satisfactions à chaque fin de module car j’avais appris beaucoup de choses !

Quand le projet devient réalité c’est vrai que c’est un peu plus compliqué de tracer sa route. Personne n’est là pour nous guider vraiment (d’ailleurs c’est ce qu’on a voulu en devenant indépendante !)
On a l’impression d’avoir fait son maximum, d’être à jour et qu’il n’y a plus qu’à attendre la mission !
En fait, non !

Alors pour ne pas trop me perdre et diminuer ma charge mentale je planifie les tâches récurrentes dans mon agenda (ex : en début de mois : déclaration CA ; en fin de mois : envoyer les factures, etc.), mais également tout le reste qui peut me prendre du temps sur ma journée et que je ne dois pas oublier (ex : RDV personnels / clients / réseau entrepreneurs / ateliers FFMAS, etc.).

Je divise mes journées en 3 temps :
1/ Ma priorité : réaliser les missions qui me sont confiées,
2/ Ensuite viennent des activités quotidiennes
 faire une veille sur ma boîte mail
 m’investir dans le "réseautage" (LinkedIn, commerçants si j’ai l’occasion, etc.)
 répondre à des demandes de devis ! (ce n’est pas forcément quotidien mais je ne traîne pas pour répondre évidemment !)
 m’accorder du temps pour aller marcher ou faire un tour à vélo
 etc.
3/ Enfin, il peut y avoir des tâches / actions ponctuelles :
 réfléchir à un article
 chercher des informations
 me former
 etc.

Voilà, comment j’essaie de lutter contre la procrastination et puis il y a un proverbe auquel je ne déroge jamais : "ne remets pas au lendemain ce que tu peux faire le jour même".

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